Quand la tristesse prend une ville entière,
Vivant par les vagues de l’espoir,
Et de permanentes idées noires,
Où des enfants, des pères et des mères,
Manifestent criant leur colère,
Car leurs enfants sont partis en
galère,
Dans l’impitoyable bleu de la mer.
Entre les infos et de faux espoirs,
Qu’ils seraient en Lybie vivants,
Et reviendront incessamment,
La vérité reste à savoir.
Un problème de grande envergure,
Qui touche les pauvres de monde,
Qui tendent vers la verdure,
Et une vie juste et féconde.
On ne peut qu’espérer et supporter,
Pour ces victimes et leurs parents,
Des sentiments de compassion,
Et une vraie solidarité.
Comme, bien d’autres villes ailleurs,
Zarzis, subie cette fois,
Un nuage de désarroi,
D’angoisse et de grande peur.
Quand dix sept personnes et un bébé,
Partirent vers un paradis supposé,
Sans ne parvenir là-bas ni revenir,
Perdus, sans signaler leur devenir.
Hommage aux victimes
de la mer,
Les retrouvées et les absents encore,
Que leurs malheureuses mères,
Résistent à ce drame des plus forts.
Lihidheb Mohsen 08.10.2022
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