C’est avec le vent du nord,
Qu’arrive l’indispensable pluie,
Arrive aussi la nuit la fraicheur
Après chaque, Sirocco fort.
C’est du nord que les vagues arrivent,
Apportant des objets flottants,
Des bouteilles et des planches sur les
rives,
Utiles à nos cabanes de paysans.
Avec les stupides guerres mondiales,
Arrivaient aussi des corps humains,
Comme il en est maintenant,
Des victimes de la migration
naturelle.
Un état des faits qui se développe,
durable,
Comme le fait l’intelligence aussi, incapable,
D’améliorer la vie des hommes,
partout
Et garantir un relatif bien être,
pour tous.
Voilà donc, habitué à trouver
quelques fois des corps,
Boughmiga, tomba sur un ballon
d’enfants en couleurs,
Dans lequel, ils auraient investi du bonheur,
Pour réchauffer les cœurs et
condamner la mort.
Fallait-il, que ce monde soit géré
par les enfants,
Par les rêves et l’entrain innocent,
pratiques,
Et arrêter toutes les violences, iniques,
En donnant à la vie, ses chances pour
de bon.
Lihidheb Mohsen 26.11.2021
Mémoire de la mer et de l’homme.
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