SIFFLET DE « L’ARBITRE » ABSENT
Pourquoi tu n’as pas sifflé
Les bateaux des clandestins,
Pourquoi tu n’as pas bloqué,
La route à ce destin,
Avec de simples bouffées d’air
Et un bruit strident dans l’air,
Des cartons jaunes, des cartons rouges,
Arrêtez, personne ne bouge,
Et sauver des malheureux
Perdus dans l’immense bleu,
Pourtant quand je t’ai trouvé,
Parvenant à la jetée,
J’ai voulu bien t’essayer,
Et un bruit s’est dégagé,
Accentué par le vent,
M’assourdissant les tympans,
Là où il ne fallait pas,
Comme toujours dans ces cas,
Tu n’as pas fait ton devoir,
D’ailleurs monsieur l’arbitre aussi,
Vous regardiez ensemble ailleurs,
Complices d’obstruction à la vie.
Lihidheb mohsen
Monday, February 19, 2007
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